Fêtes

Le groupe de chants anasheed "Rythm'anasheed" de Montpellier assure vos fêtes, baptèmes et mariages dans la joie et la bonne humeur!

Pour tout renseignement, n'hésitez pas à nous contacter par e-mail à l'adresse suivante: association.elles@caramail.com

Sortie "plein air"

  

                          

Sortie au ski: station prats peyrot, Mont aigoual

    Rien de tel qu'une sortie au ski pour prendre un grand bol d'air frais!
C'est à la station de ski prats peyrot au mont aigoual que s'est déroulée la sortie au ski, dans une ambiance détendue et pleine de bonne humeur.
    Le ski étant une activité assez difficile à maîtriser, seules les plus courageuses se sont aventurées sur les pistes rouges!
    Bilan des chutes: 2 personnes chez les sapeurs pompiers, mais de nombreux sourires en souvenir pour masquer les petits bobos!!

La Derbouka

Histoire

La darbouka daterait de 1100 avant J.-C. Elle est fabriquée en terre cuite, en métal (aluminium) ou plus rarement en bois et est recouverte d'une peau animale (généralement mouton, chèvre ou poisson) ou de plastique. Les peaux en animal nécessitent d'êtres chauffés, afin d'obtenir une tension correcte, avant utilisation.

Alors que les corps en céramique sont souvent considéré comme produisant le meilleur son, les corps métalliques et peaux synthétiques sont généralement favorisés par les professionnels, du fait de leur solidité (donc longévité), et la relative indépendance de leur son vis-à-vis des conditions climatiques (humidité). De plus, les derboukas en matériaux modernes, produisent un son plus puissant, et plus clair, ce qui les rendent plus attrayantes dans les musiques modernes.

En pratique, les drebkis (joueurs de darbouka) utilisent des instruments différents, tantôt un instrument plus traditionnel, tantôt plus moderne en fonction du contexte musical, et du timbre désiré.

Technique musicale

La darbouka est jouée avec un touché plus léger et avec davantage de frappesdifférentes que le djembé par exemple. L'instrument se place en position horizontale à cheval sur la jambe gauche pour les droitiers (ou droite pour les gauchers), le bras gauche doit être placé de façon à ce que le coude bloque l'arrière du corps de la derbouka contre la jambe, et que la paume de la main gauche (droite pour les gauchers) épouse le bord de la tête de l'instrument, laissant les doigts libres pour frapper la peau. L'axe de la main droite (ou gauche) doit être à peu près perpendiculaire à celui du bras qui repose sur l'instrument. Les deux bras et poignets doivent être souples pour arriver à une meilleure dextérité.

Concernant les frappes, il en existe trois de base et de nombreuses autres dépendantes du style régional et du type de son désiré. Le "DOUM" est le son le plus grave, obtenu en frappant le centre de la peau, le "TAK" celui obtenu en frappant le bord droit (ou gauche) de la peau à l'aide du majeur et de l'annulaire, ou bien seulement avec l'annulaire. Le "S" est la frappe généralement effectuée avec l'annulaire de la main gauche (ou droite) au bord de la peau, nécessitant une musculature souvent faible chez les débutants.

D'autres frappes, comme le claqué effectué avec la main maîtresse (gauche pour les gaucher et droite pour les droitiers), est effectuée avec l'ensemble des doigts regroupés, et légèrement pliés à la manière "gifle".

Le "RA" est le roulement effectué avec les doigts de la main qui repose sur l'instrument. De nombreuses autres frappes, comme le "MA" par exemple, existent aussi.

Styles

Les styles musicaux sont au nombre de deux principaux, le style égyptien, et le style turc, associés à une forme typique de l'instrument, néanmoins chaque pays a ses rythmes préférés et sa manière propre de les jouer et de les composer avec d'autres percussions ou instruments mélodiques. On pourra remarquer aussi une différence de style entre un musicien turc et égyptien, et aussi entre un musicien populaire et un autre plus académique. Certains musiciens bulgares utilisent aussi une fine baguette.

Les rythmes joués sont très différents de ceux entendus en Afrique de l'ouest,         malgré des similarités fortes. Les plus connus sont Saîdi, Masmoudi, Maksoum,  Goubaï, Malfouf, Zindali, Karsilama